Un consortium international a séquencé le génome de la tomate Heinz 1706, utilisée dans l’agriculture, et d’une espèce sauvage, Solanum pimpinellifolium. Les quelque 35 000 gènes répartis sur 12 chromosomes ne diffèrent que de 0,6 pour cent. Ces résultats vont servir de référence pour comprendre les mécanismes d’évolution des plantes et ouvrent aussi des perspectives pour améliorer les propriétés des espèces cultivées, tels leur goût ou leur résistance aux maladies.
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